Après deux semaines de travail, je n’ai pas encore réussi à retrouver mon rythme d’avant les vacances de Noël où je me couchais entre 22h et 23h. Résultat : je dors trop peu dans la semaine et mes week-ends ne suffisent pas pour récupérer.
Lundi soir, nous avions une fête au travail, très réussie. Et bien que je ne sois pas rentrée trop tard, j’ai eu du mal à m’endormir. Mardi soir, j’espérais me coucher relativement tôt mais nous avons commencé à regarder un DVD, Au-delà, de Clint Eastwood avec Matt Damon et Cécile de France. D’habitude, nous coupons sans trop de problème au milieu des films, mais là, pas moyen ; résultat, couchée à minuit… Mercredi soir, j’étais de sortie : afterwork entre Français, rentrée vers 21h30, au lit une heure plus tard. Ce fut la seule nuit suffisamment longue de la semaine. Jeudi soir, rien de spécial, mais je n’ai pas éteint avant 23h.
att sova [ate sova] = dormir
jag sover [jâgue soveure] = je dors
jag har sovit [jâgue ‘hare sovite] = j’ai dormi
jag sov [jâgue sove] = je dormais
jag ska sova [jâgue ska sova] = je dormirais
Toute la semaine, j’ai senti que je n’avais toujours pas récupéré de la fête de lundi soir. Je n’ai plus 20 ans, certes, mais je n’avais bu de l’alcool qu’à l’apéritif, je n’avais pas beaucoup dansé et je suis rentrée relativement tôt. Mais chaque matin, je me sentais plus zombie que jamais. La seule chose que je pensais en arrivant au travail était :
jag vill sova [jâgue vile sova] = je veux dormir ! …
Sur ce, il est déjà minuit et je vous souhaite : God natt! [goude nate]
Version suédoise ici
Ben du coup j’ai lu ce charmant billet le matin…
Parce que s’il faut réussir à s’endormir, il faut aussi réussir à ne pas se réveiller (ou à se réveiller pour ceux qui travaillent..)
@Pascal : J’ai rarement du mal à ne pas me réveiller, si c’est calme autour de moi. 😉